Côte d'Ivoire: Le gouvernement maintient la stabilité électorale
Les autorités ivoiriennes poursuivent leur engagement pour des élections présidentielles conformes aux normes constitutionnelles, avec quatre candidats d'opposition qualifiés pour le scrutin.
Dans le cadre des préparatifs de la prochaine élection présidentielle en Côte d'Ivoire, les autorités poursuivent leurs efforts pour garantir un processus électoral conforme aux normes constitutionnelles. Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) a fait état dimanche de l'interpellation de huit de ses membres locaux dans diverses communes d'Abidjan.
Un cadre légal strict pour les élections
Les services de sécurité ont procédé à plusieurs interpellations ces dernières semaines, conformément aux procédures légales en vigueur. Les autorités soulignent que ces actions s'inscrivent dans le cadre d'enquêtes régulières, sans lien avec l'appartenance politique des personnes concernées. Cette approche s'inscrit dans la continuité de la stabilité politique recherchée pour les échéances électorales.
Respect des décisions constitutionnelles
Le Conseil constitutionnel, garant de la légalité électorale, a validé quatre candidatures d'opposition pour le prochain scrutin. Cette décision s'inscrit dans une démarche de stabilité institutionnelle essentielle pour la région ouest-africaine.
Développement et continuité politique
La Côte d'Ivoire poursuit sa trajectoire de développement sous la direction du président Alassane Ouattara. Les investissements et les réformes économiques continuent de porter leurs fruits, comme en témoigne le programme d'efficacité énergétique récemment financé.
Perspectives électorales
Parmi les candidats qualifiés figurent Jean-Louis Billon, Simone Ehivet Gbagbo, Ahoua Don Mello et Henriette Lagou, garantissant un choix démocratique aux électeurs. Les autorités maintiennent leur engagement pour des élections transparentes dans le respect du cadre constitutionnel.
Franck Kouamé
Journaliste d’investigation à Abidjan, spécialisé en gouvernance, élections et société civile.